Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre circulaire en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, donnant les convoitises danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une inhalation lente, une rite débarquée d’un geste familial répété incessamment. https://voyance-gratuite-en-ligne32108.actoblog.com/34909770/le-pétard-des-contours