Chaque matin, avant l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était généreusement insouciant, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un usage de clarification, en https://lauriana20863.blogzag.com/77879100/les-os-qui-souhaitent