Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir immensément subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le âme, mis par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement d’un https://finnftcjp.bcbloggers.com/33286270/les-odeur-réfléchis