Thomas Eriel cessa d’alimenter son poêle pendant de multiples jours. Le dédaigneux s’installait légèrement dans l’appartement, mais il n’osait plus procurer la moindre ardeur. Depuis la morbidité du lecteur, ses gestes étaient devenus lents, suspendus dans une incertitude continue. Le blog, pourtant, continuait d'obtenir des visites. Les lecteurs publiaient des https://emiliocfatk.blogchaat.com/34070261/l-auteur-futile