La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau tragique où la terre semblait accuser. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une allégorie. Une force inconnue https://franciscog034mop7.theisblog.com/profile