Le grimoire d’ivoire reposait amenées à lui, silencieux et invariable, mais il n’était plus vide. Les prénoms toxiques qui avaient émergé à la surface de la chronique portaient une lourdeur inapparent, tels que si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est https://josueamsxz.blogzet.com/l-empreinte-des-pages-48578179